« Pop songs à la très complexe simplicité… » – Les inrocks
« Et toujours l’intense présence d’Himiko qui emmène vers des ailleurs vocaux. » – Le monde
Née en France, Himiko est la fille du bassiste Bernard Paganotti et de l’artiste peintre japonaise Naoko Paganotti.
Elle étudie la danse classique dès l’enfance, et commence à chanter dès l’adolescence. Sa première expérience sera de faire les choeurs dans le groupe sénégalais Toure Toure. Parallèlement, elle rejoint le groupe aux influences pop-rock, Monkey Toon, qui devient son premier projet en tant que chanteuse lead, et dans lequel elle se lance dans la composition.
Elle intègre le groupe Magma en 2001 qu’elle quittera après 7 ans d’expérience, pour se lancer dans des projets personnels. Elle crée un duo électro-pop avec le pianiste Emmanuel Borghi « Paghistree. » Duo qui deviendra le trio « Slug » le temps de 2 albums, suite à leur rencontre avec John Trap.
Parallèlement, Himiko collabore avec de nombreux artistes comme Francis Cabrel, Henri Texier, Nguyên Lê, Toure Kunda, Sixun, Céline Bonacina, Mickael Mantler, Sophia Domancich, John Greaves et d’autres.
En 2014, Himiko et Emmanuel lancent le groupe HIMIKO, un univers très personnel, dans lequel elle compose, écrit et chante.
Leur musique oscille entre la pop, l’électro et le jazz, sans pour autant se cantonner à un style ; On la dit « ambitieuse et ensorcelée » et on la compare souvent à la « soul psychédélique et tortueuse » de Portishead.
Inspirés par un film, une image, un mot, un sentiment, ils créent un univers complexe et magique proche de celui du cinéaste Tim Burton.
Kate Bush, Laurie Anderson, Bjork, Peter Gabriel, Annie Lennox, Yoko Ono, Nina Hagen, David Bowie et même Grace Jones sont également cités à plusieurs reprises pour décrire leur univers.
Pour cet album, Himiko et le pianiste Emmanuel Borghi ont choisi de travailler en famille, avec Bernard Paganotti à la basse et Antoine Paganotti à la batterie.
A noter les présences en guests du guitariste Nguyên Lê et du chanteur Ronnie Bird.
